Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
jeudi 21 octobre 2010
le vélo et le terril
La nuit allait venir. Je posais mon vélo entre les ornières et les cailloux, sur le sentier de traverse qui sillonnait la terre sombre au pied du terril. Des lampadaires éteints.
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