Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
Ces Ophéliennes voguent en corps de prière ou d'ailes ouvertes/Au coeur de l'onde qui renonce à vaincre les rochers et où flottent fleurs et feuilles/ de ce bleu des chairs devenues froides quand le creux des myosotis devenu alcôve recueille les rêves de celle qui tombe/ Ophélie dans l'ombre du soleil recherche le bleu du ciel mais elle n'est pas triste, elle tombe et se relève,bien plus loin que là où s'arrête l'image
Hé bonjour . Des Sirénes tristes et seules ??!!
RépondreSupprimerBISOUS cathy .
Ces Ophéliennes voguent en corps de prière ou d'ailes ouvertes/Au coeur de l'onde qui renonce à vaincre les rochers et où flottent fleurs et feuilles/ de ce bleu des chairs devenues froides quand le creux des myosotis devenu alcôve recueille les rêves de celle qui tombe/ Ophélie dans l'ombre du soleil recherche le bleu du ciel mais elle n'est pas triste, elle tombe et se relève,bien plus loin que là où s'arrête l'image
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