Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
Bonjour Sonietchka, les enfants bleus vont par trois / au bleu de l'eau quand l'O de l'infini se reflète là où le ciel croise le jet d'une vague perdue/dans le miroir du temps, rien jamais ne s'oublie/Le passé serait un chemin de cyanes perspectives mais aussi un passage, éphémère parfois/Passage vers un voyage sur la ligne de l'horizon,et vers cette ivresse d'un bleu silencieux qui s'inscrit en filigranes limpides sur l'arbre de la vie
Les trois poupées bleues:)
RépondreSupprimerBonjour Sonietchka, les enfants bleus vont par trois / au bleu de l'eau quand l'O de l'infini se reflète là où le ciel croise le jet d'une vague perdue/dans le miroir du temps, rien jamais ne s'oublie/Le passé serait un chemin de cyanes perspectives mais aussi un passage, éphémère parfois/Passage vers un voyage sur la ligne de l'horizon,et vers cette ivresse d'un bleu silencieux qui s'inscrit en filigranes limpides sur l'arbre de la vie
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