
comme un parfum d'hiver
les fleurs muettes au pied du terril
le chemin des pommiers, oublié.
Des arbres nus.
Photographie et tirage pigmentaire Remi Guerrin, recolorié.
Ce serait un jardin de longues envolées Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime Un creux dans le silence murmuré d’une éternité Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains Et le souffle naissant du pays des enfances. Véronique Guerrin ( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)