Bianca, la
douleur est blanche
Blanche comme un linge
effiloché, le corps s’arrache et
se crispe
Blanche comme un mort
la vie nous quitte lentement,
nous laissant exsangue
Blanc de silence, de neige ou d’écume /de froid, de lambeaux
Blanc de silence, de neige ou d’écume /de froid, de lambeaux
La tête environnée de nuages/être
perdue, isolée, abandonnée
solitaire/un océan de vide/
Chaque poussée de souffrance est
un baptême
Livide, figée, un habit de
linceul
je suis aveugle, mes yeux sont
blancs
Je suis la vestale qui célèbre le
rite du corps entravé
Il neige sur la chair /le
déchirement, la désolation sont si si froids
Retrouver la pureté, l’innocence,
la lumière
Garance, la
douleur est rouge
La
douleur est rouge
Un coquelicot dans le cœur
Du feu qui brûle et déchire la
chair
Perdre force et vie/ violence de ce
calvaire/mordue par le feu
Sur un bûcher permanent dont les
flammes tournoyantes
vont de membre en membre
et incendient la colonne
vertébrale
Je vacille, dévorée par des
flammes invisibles
Fumante/devenant pierre calcinée
Statue de lave/incandescente/
serait-ce un châtiment ? De
quoi ? Pourquoi ?
Retrouver l’ardeur de vivre
Esméralda, la
douleur est verte
La
douleur est verte
Immuable
Vert de peur /si jamais cela ne
s’arrêtait plus jamais
Vert d’espérance/si enfin le
renouveau me délivrait
Vert thérapeutique/si je pouvais
trouver un traitement naturel
Dans le vert je me repose au
creux des épines du sapin
Même si elles me blessent
Vert de froid/décomposé, glacée
jusqu’aux os
la chair anesthésiée se raidit
Dans la crispation verte
la vie et la mort se conjuguent au temps de
l’incertain
Retrouver la force de renaitre et
de croitre/l’apaisement
Morana, la
douleur est noire
La
douleur est noire
Dépression/de cendres/lambeaux de
peau momifiée
Enfermée dans la grotte
souterraine de l’incompréhension
Le soleil est noir/j’avale mes rayons/je
ne suis qu’un soleil éteint
Un voile de mort est jeté sur mon
corps
Je suis un corbeau tournoyant
Coupable d’être souffrante /le
tourment ne se voit pas !
A peine peut-on le dire !
Je suis de charbon, corps préparé
pour le feu
Je ne vis que dans l’ombre de
moi-même
Et j’erre dans le fond de la
mine/noir est le fossile de mon âme
Ce qui s’est fossilisé en moi me
détruit
Comme un mineur ma peau est
cloutée d’anthracite
Il n’y a plus de lumière/tout est
froid et dur
De l’onyx/une statue d’onyx
Carbonisation/cœur noir du
coquelicot
Retrouver la force de la
renaissance
Arachnée, la
douleur est enlaçante/
La femme
sauvage/l’ermite
La
douleur rend le corps sauvage,
Renoncement
dans le désert
L’ermite
La chevelure ne donne plus la
force, ni la beauté,
elle emprisonne la chair de
l’ermite en une longue et terrible pénitence
L’araignée noire tisse sa toile
sur la chair nue,
livrée aux assauts d’une
captivité par la souffrance
Comme l’ermite, faire pénitence,
s’humilier, nier la douleur,
s’anéantir dans la torture
corporelle peut nous faire perdre le fil de la vie
En cet isolement tu te perds /
Ariane ne peut dénouer le fil de la délivrance
Le fil ou la corde sont cette
discipline vouée à la chair crucifiée/Sacrifice
Ophélie se
meurt, sur l’onde bercée, ses longs cheveux flottants parmi les herbes
Lorelei au
chant du Rhin : « Avec un peigne d'or est pareille
Au blond peigne d'or du soleil,
Et l'étrange chant qu'elle chante
Est une mélodie puissante. » (Poème du Rhin)
Au blond peigne d'or du soleil,
Et l'étrange chant qu'elle chante
Est une mélodie puissante. » (Poème du Rhin)
Ce serait une
malédiction d’entendre son chant et d’y succomber
Lorelei peigne
nos chevelures : nos pensées, malédiction et tourment
Mélusine
coiffait ses longs cheveux au bord de l’eau, heureuse,
Un jour,
trahie, poussant un
long cri de douleur,
elle redevint le serpent vert /encore une
malédiction
La douleur
serait elle malédiction ?
Marie Madeleine ou Marie
L’Egyptienne,
protégées par leurs longues
chevelures vivaient nues dans la montagne ou le désert et ne mangeaient plus /Pélagia
devenue semblable à un homme / Les ermites femmes : des femmes sauvages
environnées de chevelures comme dans un linceul
La douleur ferait elle devenir
sauvage ?
La douleur nous rend elle ermite ?
Ces chevelures qui ne parent plus
la chair mais la cache au monde
seraient alors le seul vêtement
digne de paraître au pays des Dieux
si cette chevelure qui masque le
corps dévoilait chez la femme ermite le désir de rester féminine malgré
tout ?
Si ces chevelures comme des
serpents enroulés autour de la peau calcinée par la souffrance de la pénitence
Représentaient les pensées, ces
pensées qui ne s’arrêtent jamais,
Enlaçantes et terribles
La chevelure ondule sur le corps
/ sa puissance de croissance peut enfermer /
Elle roule et tourne sur la chair
nue de l’anachorète, la coupant des autres
Le bois du cercueil/le bois de la
barque/
Reposer le corps et le nouer au
bois
Les cheveux ne sont pas que force
sacrée
Ils disent la beauté mais aussi
les ondes qui nous entourent,
ces eaux vives qui s’engouffrent
et nous noient /
Toutes ces pensées qui ruminent
en nous
Lorsque l’ on se ressent plus
mort que vivant/
Ces pensées qui grandissent et
s’allongent /
Chevelure jamais coupée qui puise
son énergie dans le supplice
Se tenir immobile comme un tronc
d’arbre
/la lancinance de la douleur
s’arrête
Phébé, la
douleur est d’argent
La
douleur est d’argent /d’aluminium et de plastique
Cette douleur nous coupe des
autres /nous transforme en statue/
nous empêche de respirer, de
bouger, de danser
Aucun contact avec les autres
les bras, les mains sont noués au corps et
enfermés/
Aucune parole ne sort de la
bouche enplastifiée/
aucune pensée ne peut quitter le
capuchon d’argent/
l’emmurée vivante/L’aluminiuminée
D’argent, lunaire/la lune est enlevée
par les démons et cachée/
C’est un miroir qui se reflète en
moi
la douleur se déplace par
quartiers de lune/
tu es lunatique/tu es dans la
lune/tu tombes de la lune/
tu ne dors plus/tu deviens
insensée/
Séléné emplie de clarté Artémis
montant et descendant dans le ciel
ou Hécate plongée dans
l’obscurité
en phases successives/
le miroir se voile, se dévoile,
se brise, s’oxyde
Retrouver la liberté de se
regarder/de se reconnaitre
Stéphania,
Dolorosa
La douleur est
un martyre
Cassandre dort
Oublie la douleur envahissante
Crucifiante
Ces millions d’aiguilles qui
piquent sa chair et la mordent
La réveillent la nuit
Ces brûlures à l’intérieur des membres, un feu qui
jamais ne s’arrêtera
Ces jambes, ces bras de plomb ou de pierre
Un corps dur, pétrifié, lourd, impossible à mouvoir
Ce brouillard dans la tête Cette brume environnante,
tous ces oublis
Perte d’identité Perte de tout
Aucun désir Aucun projet
Seulement dormir
Oublier qu’il fait si mal dans le
pays du corps
Le cou ne se ploie pas, ne se tourne pas, il
souffre, se tend
Une boule chaude logée à la base de la tête,
une bête lovée dans les fentes d’une chair
empoisonnée
par un mal
invisible, les épaules ployées, déployées en lancinance
Et lutter, comment lutter afin de surmonter cette
immense fatigue ?
Et lutter, comment lutter afin d’oublier cette
souffrance perpétuelle ?
Aurai je défié les dieux ?
Je pousse mon corps, une roche
jusqu’en haut de la montagne,
je retombe sans fin dans l’enfer en flammes
Je roule mon tonneau vide de
mille heures explosées
Saint Sébastien criblé de flèches, tordu sur le bois
de l’arbre ensanglanté
Hypatie démembrée à coups de coquillages
Je me prends pour un caillou roulé dans les eaux
d’un fleuve en furie
Ou au fond d’un volcan en éruption,
des parties de moi explosent dans le ciel
d’une gisante, déclose mélancolie
Flor’épines,
la douleur est piquante
La petite fille a rencontré le
loup.
Surtout ne pas bouger, ne pas
parler, devenir invisible,
Inexister. C’est la clé
nécessaire à la survie.
Interdit
de regarder. Interdit de parler ;
elle
ne sait pas comment elle fait pour tenir
debout ;
elle
n’a plus de gorge, plus de voix, comme si le son s’était éteint,
comme
si les cordes vocales étaient coupées.
Sidération
Les
cordes et les fils enlacent la chair, la meurtrissent
La corde, les fils de la douleur lancinante, ininterrompue
Qui labourent sans fin
Nul répit ou seulement de courte
durée
et toujours le retour de cet encerclement
Et ça tourne, et ça serre
Reliant les articulations entre
elles comme autant d’entraves au mouvement
Avec ces cordes je pourrai grimper,
monter ou descendre
Mais je ne peux rien faire /elles
sont incrustées/
pas de geste libre possible
Je pourrais marcher sur le vide
ou tisser le fil
Mais la tisserande de la vie
s’est trompée
Elle m’enroule comme Arachné Une
Ariane féroce qui m’étouffe
C’est le fil de la vie ou la
corde ombilicale/ à quoi se relier ?
Pour dénouer ces liens ?
Corps bridé/corps pendu/la corde
pour se pendre
Il faudrait dérouler ces fils,
cette corde pour sortir du labyrinthe
Retrouver en soi l’Ariane qui
indique le chemin
Depuis
la grotte palpitante et rouge
Où
se forme notre corps
par
ce lent travail de maturation du fœtus et du futur enfantement
Ce
cordon ombilical
Nous
relie-t-il au monde ? Aux dieux ? A la famille ? A nous
même ?
Fil de la destinée qui trame nos jours et nos
nuits
en
un tissu aux couleurs de constellations et d’alternance
Tu
tisses la douleur sur le métier de ta chair
Il
te faudra bien un jour couper ce fil d’Araignée
De
ce coquillage : nombril secret qui t’encercle
de
fils chatoyants ou lugubres
Aux
éclats parfois terriblement mortels
Et
les larmes
mais
aussi l’or du soleil et l’éclat lunaire
Dans
ce coquillage l’araignée dévoratrice se love
Se tourne et se retourne
La
destinée nous a donné une chair s sensible et fragile
Le
temps s’étire le long des os glacés
Les
jours peuvent devenir prémices du feu de l’enfer
qui
grimpe le long du dos
Parfois
lorsque se tait le corps
Enfin
abreuvé de paix et de silence
Alors
on croit renaitre et respirer
Sur le métier à tisser cent fois
remets ton ouvrage
L’univers
que tu crées avec les peines que tu vis
Se
divise en cercles concentriques sur une toile d’Ariane
Tu
es ta propre Ariane
La
douleur va et vient Ton ossature est une navette
Le
fil se serre, se resserre, sois souple, légère
Inspire,
expire, respire
Les
fils du tissage seraient cheveux ou serpents
Comme Pénélope, en
alternance,
ton
rythme est de faire et défaire
Tu
files et tu tisses le mal qui t’habite
de
jour et de nuit
le
minotaure te dévorera si tu te caches dans la grotte obscure
Cherche
le fil, attrape-le et remonte vers la lumière
Tue
le minotaure qui s’agite, prisonnier de ta substance
Tue
le lancinement ou transforme le
La
combustion de ta colonne vertébrale
réveille tant de choses
mais
elle élimine aussi toutes scories
La
mémoire se libère
Le
corps dit et parle Il exprime ce que tu ne peux dire
Le
corps est fatigué, épuisé
Écoute-le
Ce tissage de ta peine et de tes
tourments
c’est
un travail d’enfantement à toi même
de
mort et de renaissance
de
libération
Nayana Niyati /l’œil du destin
Elle
est en nous
celle
qui voit au-delà
de ce
que pensent les gens,
de ceux
qui savent,
nous assomment de leurs vérités
« c’est
dans ta tête » « c’est psycho il n’y a rien à faire » « ce
sont des femmes qui ont trouvé le moyen efficace de ne plus travailler car
elles n’aimaient pas leur travail » des hypocondriaques qui veulent se
faire dorloter »des fragiles qui ne savent pas ce qu’est la vie »
« des perdues de la société »des parasites, des fainéantes »
Elle est en nous
Celle
qui sait et se tait
Le
masque qui cache la terrible vérité
L’œil
qui reste attentif
Qui
conduit par la douleur à la connaissance
de la
réalité du symptôme
Elle
est en nous
Celle
qui voit et ne dit rien
Elle
tient les fils du destin et nous relie à nous même
Dans
l’horreur la douleur et la paix qui viendra
Le
silence de l’âme et du corps
Juste un corps rompu Offert au
vent Au soleil
Au cœur du monde
Flamboyant
« La douleur serait
plaisir » disait le poète
Le temps s’allonge
imperceptiblement pourtant rien ne bouge
Rien ne change La leçon que nous donnait le
ciel
A bouleversé l’os et la chair,
rendant muet l’enfant sans nom
Il y aura un cataclysme, aucune
issue,
Ce ne sera pas encore l’approche
de la mort
Comment aller si loin alors que
l’on ne sait pas
Ce que l’on trouvera derrière les
portes incompréhensibles
qui clôturent l’éternité?
Les poupées
Ce qu’elle éprouvait en ce
moment-là était un peu pareil à ce qu’elle eût ressenti si on lui eût dit
brusquement :
Petite, vous
êtes la reine de France.
Il lui semblait que si elle touchait à cette poupée, le tonnerre en sortirait. »
Il lui semblait que si elle touchait à cette poupée, le tonnerre en sortirait. »
V. Hugo Les misérables
« Depuis
tous ces malheurs, Sophie n'aimait plus sa poupée, qui était devenue affreuse,
et dont ses amies se moquaient ; enfin, un dernier jour, Sophie voulut lui
apprendre à grimper aux arbres ; elle la fit monter sur une branche, la
fit asseoir ; mais la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba : sa tête
frappa contre des pierres et se cassa en cent morceaux. Sophie ne pleura pas,
mais elle invita ses amies à venir enterrer sa poupée. »
Les malheurs de Sophie La
comtesse de Ségur
« Mes poupées m’ont sauvé » Un pansement,
voilà peut-être ce qu’est une poupée.
« Qu’est que c’est qu’une poupée
? Qu’est ce qu’est une poupée ? C’est quelque chose d’étrange. C’est quelque
chose dans l’ombre. C’est quelque chose de la terre. C’est quelque chose de
l’origine. C’est quelque chose de magique. C’est quelque chose de paternel.
C’est quelque chose d’interdit. C’est quelque chose de Dieu […] »¹.
« Qu’est-ce qu’une poupée ?
C’est le regard du petit garçon qui regarde
l’horreur, l’horreur du monde, et qui s’accroche à la poupée.
Qu’est-ce que c’est qu’une poupée
?
C’est le petit garçon qui a peur,
et qui sait que cette chose va l’aider, va l’aider à continuer.
Qu’est-ce qu’une poupée ?
C’est la poupée que j’ai vu,
brisée, cassée, défigurée, comme enterrée avec d’autres corps.
C’est le ciel qui se déchire, pour donner de
l’espoir. C’est l’envie de ne pas mourir quand j’étais petit enfant. »
"Qu’est-ce que c’est
qu’une poupée ?
c’est quelque chose
d’étrange
c’est quelque chose
de l’ombre
c’est quelque chose de la terre
c’est quelque chose de l’origine
c’est quelque chose de magique
c’est quelque chose de paternel
c’est quelque chose d’interdit
c’est quelque chose de Dieu
c’est quelque chose de lointain
c’est quelque chose sans yeux
c’est quelque chose d’animal
c’est quelque chose d’oiseaux
c’est quelque chose de silencieux
c’est quelque chose d’éternel
c’est quelque chose de boue
c’est quelque chose de cailloux
quelque chose de végétal
quelque chose de cruel
quelque chose de l’enfance
quelque chose de joie
quelque chose de cri
quelque chose de muet
voilà !"
Michel Nedjar, 1996
Mémento Mori
Le corps semble être absent dans
la poupée
Le temps qui passe altère l’objet
Venu de loin, de rituel, de
parole diabolique, de trophée religieux
de l’approche sacrée des peuples
primitifs
Les « Ouchebti »
Egypte antique
(Serviteurs
funéraires/statues/elles remplacent le mort dans l’au-delà)
La poupée devient présence
Parfois : Informe Difforme Dissociée
Torturée
Parfois : Jolie Magique Précieuse
Gardée dans sa boite Cadeau merveilleux
Parfois : Momies Poupées vaudous
Dans la mémoire s’entrecroisent
les fantômes du passé et ceux de demain
D’une présence à soi même A
d’autres « soi-même »
en un face à face En un un rite
Qui peut faire peur Qui dénature
le jeu de la fillette
Toi tu aimerais façonner l
‘impensable avec ce qui te tombe sous les doigts
Miroir ou écho De cet inconscient
où se trament mille histoires de toi-même et des autres qui t’habitent, t’ont
habités, t’ont initié à la vie
Elle reçoit une poupée Elle a été
très sage et obéissante Cette poupée devient son miroir, sa confidente
Elle joue à la poupée Elle fait
fondre les jambes de la poupée dans de l’eau trop chaude Les yeux se perdent au
soleil Sans regard Sans corps la poupée perd son identité
Présence d’une dame qui coud des
vêtements de poupées pour les officiers nazis (Lanzman ; les quatre sœurs)
Les trains de la mort sillonnent
la géographie de ce pays intérieur qui n’appartient à personne d’autre
Les enfants tués, torturés,
délaissés, violés, meurtris parlent avec leurs chairs de lambeaux, de couleurs,
de rien et de vide
Toute guerre, au plus profond de
notre âme, est la désespérance des mères
Terreau du funéraire ou symbole
d’un enfant perdu
Victime expiatoire Figurine de
rêve Démon Daimon Fétiche Totem
La poupée : modèle féminin
/modèle de mère puis de femme (Barbie année 1950)
Poupée : détourne mauvais œil
Fertilité/protection/chasse-cauchemar/funéraire/
portebonheur/religieuse
« La légende rapporte que l’épouse du
dieu Siva, avait fait une belle poupée qu’elle se prit à aimer ardemment. Ella
la cacha dans les montagnes de Malaga. Son mari, l’ayant vue un jour, l’aima à
son tour et lui donna la vie. »
« Au moment du mariage, en
Italie, la vierge vouait sa poupée à Vénus, et lorsqu’elle avait un enfant,
elle allait suspendre au temple une image du nourrisson. En Grèce comme à Rome,
les mariages étaient l’occasion pour les jeunes mariées de consacrer leur
poupée et sa garde-robe à la déesse Artémis.
Selon Athénée de Naucratis, Sappho
dédiait sa poupée à Aphrodite avec ces mots : « Ô Aphrodite, ne méprise
pas le petit foulard pourpre de ma poupée. Moi, Sappho, je te dédie ce précieux
présent » »
e suis très ravi. à tous ceux qui lisent ceci, je veux informer le public sur la façon dont j'ai été guérie du cancer de l'ovaire de stade 2 par les médicaments à base de plantes du dr itua. J'ai souffert d'un cancer de l'ovaire et j'ai également pris un traitement auprès de mon médecin, mais pas d'issue, il y a quelques semaines, je suis venu sur Internet pour voir si je pourrai obtenir des informations sur la guérison des cancers. vu divers témoignages de personnes qui ont été guéries de cancers de l'utérus et de tumeurs cérébrales par le bon médecin, appelé dr itua. sans aucune hésitation, j'ai contacté son email: drituaherbalcenter@gmail.com et je lui ai écrit et et il m'a guidé, je lui ai demandé des solutions et il a commencé les remèdes pour moi alors j'ai commencé à utiliser le médicament, après la période de trois semaines donnée pour moi, par le dr itua, j'ai été complètement guéri, plus aucune tumeur sur mon corps n'a été trouvée. alors cher téléspectateur, pourquoi vivre ta vie chez un thérapeute ou une chimio?contactez-le maintenant sur whatsapp +2348149277967 il est capable de guérir les maladies listées: arthrite, sclérose latérale amyotrophique, tumeur cérébrale, fibromyalgie, cancer du pancréas, toxicité des fluoroquinolones cancer de la vessie, cancer du cerveau , le vih, l'herpès, le cancer de l'œsophage, le cancer du rein, le cancer de la vésicule biliaire, la maladie trophoblastique gestationnelle, le cancer de la tête et du cou, le lymphome hodgkinien, le cancer de la thyroïde, le cancer de l'utérus, les fibromes, l'angiopathie, l'ataxie, le cancer de l'intestin, le VPH, le cancer du poumon, le mélanome, le mésothéliome, myélome multiple, tumeurs neuroendocrines lymphome non hodgkinien, cancer de la bouche, cancer de l'ovaire, cancer des sinus, hépatite, cancer de la peau, sarcome des tissus mous, cancer de la colonne vertébrale, cancer de l'estomac, leucémie, cancer du foie, cancer du vagin, cancer de la vulve, maladie d'alzheimer, diarrhée chronique ,copd,parkinson,als,mononucléose infectieuse carcinome corticosurrénalien. cancer des testicules, maladies tachymétriques, cancer de la gorge, toc, syndrome fibrodysplasie ossifiante progression sclérose,
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