La dame âgée qui m'a vendu ces images d'un autre siècle m'a expliqué que ses parents étaient morts pendant la guerre ; elle n'avait pas connu ces deux grands mères et voilà pourquoi maintenant, elle se séparait de ces photographies.
Les cadres de ces portraits miniatures proviennent de la papeterie Kessler à Zurich
Ce serait un jardin de longues envolées Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime Un creux dans le silence murmuré d’une éternité Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains Et le souffle naissant du pays des enfances. Véronique Guerrin ( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
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