Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
jeudi 21 mars 2013
Règlements de comptes, Hiroshima mon amour...
Texte"Hiroshima, mon amour" Marguerite Duras et Film d'Alain Resnais
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire