Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
mardi 21 juillet 2015
Le Grand-Hornu
Les parasols
gris sont repliés Dans le bassin les dalles brillantes se soulèvent au rythme
de l’eau
Au Grand-Hornu il fait trop chaud ce serait déjà l'automne
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