Ce serait un jardin de longues envolées
Une entrée dans le pays natal où respire l’Infini
La tranquille et lente remontée vers le visage de l’Intime
Un creux dans le silence murmuré d’une éternité
Tu ne peux confondre le vent venu des horizons lointains
Et le souffle naissant du pays des enfances.
Véronique Guerrin
( Je vous remercie de me prévenir si vous voulez utiliser textes ou images qui sont ma propriété.)
mardi 19 octobre 2010
le terril bleu
C'était un rêve bleu et long
comme un parfum d'hiver
les fleurs muettes au pied du terril
le chemin des pommiers, oublié.
Des arbres nus.
Photographie et tirage pigmentaire Remi Guerrin, recolorié.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire